crowdinvesting
Après un premier article comparatif de Carine Girard, professeur associé à Audencia Business School, sur l’impact des différents modes d’investissement participatif dans la gouvernance des entreprises, nous revenons sur un comparatif global. Equity, royalties, prêt… quels impacts pour l’entreprise et pour les investisseurs ?
A mesure que le financement participatif, et notamment le royalty crowdfunding, se développe à un rythme soutenu en France (+100% par an, selon le baromètre Compinnov / Financement Participatif France), les particuliers et les entreprises se voient de plus en plus sollicités par des entrepreneurs cherchant à se lancer.
La crise de la presse est aussi la crise du photoreporter, ces journalistes qui partent à l’autre bout du monde (ou pas loin de chez nous), s’immergent dans un sujet et s’imprègnent d’une réalité, qu’ils nous font ensuite découvrir à travers leurs photos.
Le crowdfunding est en plein essor, à tel point que de nombreuses plateformes voient le jour chaque année, que ce soit en don, en investissement ou en prêt. 66 millions d’euros ont été collectés au premier semestre 2014. Cela représente déjà 85% de la somme collectée sur l’ensemble de l’année 2013 ! Le financement participatif s’installe dans le
Mouves comme Mouvement des Entrepreneurs Sociaux. Le mot d’ordre du Mouves : l’intérêt général ! Ce mouvement crée en 2010 a pour objectif de rassembler et représenter les dirigeants d’entreprises sociales de toutes sortes en France.
Le 15 novembre dernier s’achevait la consultation publique concernant le financement participatif. WE DO GOOD y a répondu en axant sa réponse sur le financement des projets entrepreneuriaux en phase d’amorçage. Nous demandons d’adapter le cadre du financement participatif aussi pour les levées de fonds modestes (inférieures à 100 000 euros).